vendredi 3 avril 2015

RMN-Grand Palais



Après avoir tenté en vain d'obtenir un RV avec madame Marjorie Lecointre, Directrice de l'évènementiel et de l'exploitation du Grand Palais, le SNG-C et la FNGIC ont rencontré la semaine dernière les responsables de la RMN :

Monsieur Vincent Poussou, Directeur des publics et du numérique
Madame Valérie Bez, chef de service Accueil/Information/Vente
Madame Cléa Richon Directrice de projet



Les conditions d'accès des GC aux galeries du Grand Palais ont été longuement évoquées, ainsi que les réservations en ligne.

1. ACCES PRIORITAIRE
Nous avons fait valoir la nécessité pour les GC de pouvoir accéder librement sur leur lieu de travail, et leur droit à la formation continue par la visite de toutes les expositions en cours.
La RMN justifie sa décision par l'afflux de visiteurs qui acceptent très mal cette priorité.

Nous avons obtenu l'accès prioritaire pour les GC qui ont réservé des créneaux pour l'exposition qu'il vont voir, afin de faire leur repérage.
Il faudra donc pouvoir présenter une réservation au contrôle.
Cette mesure est mise en place dès l'ouverture des expositions de printemps.

Pour les GC qui ne présenteront pas l'exposition qu'il veulent visiter, des créneaux horaires avec accès prioritaire sont envisagés, mais rien n'a été acté.

La gratuité est maintenue dans tous les cas.

2. RESERVATIONS EN LIGNE

Le nombre de créneaux pour Velasquez était le même (350) pour les conférenciers extérieurs que pour les conférenciers RMN.

Nous avons eu l'assurance qu'aucun créneau n'était pré-vendu, et qu'il n'existait aucun accord avec des agences pour réserver des créneaux.
Bref, nous sommes victimes du succès des expositions...

Le nombre de ''studios'' a en effet beaucoup diminué, pour des raisons techniques,  du fait de l'augmentation des prestations évènementielles qui monopolise les locaux et les moyens techniques. Il n'est pas question de les augmenter à nouveau.

3. MINI-GROUPES

Il nous a été confirmé que les groupes sont considérés comme tels à partir de 4 participants et jusqu'à 25.
Nos interlocuteurs ont semblé découvrir le problème des mini-groupes, et faire preuve de bonne volonté.
Nous avons insisté sur la nécessité de vérifier la carte professionnelle des guides intervenant dans cette configuration.
Nous avons suggéré une demande d'autorisation sans droit de réservation, pour éviter la prolifération de ces mini-groupes.
Des décisions plus fines doivent être prises sur ce sujet, mais pour le moment, il est toujours possible de prendre la parole avec 2 ou 3 clients, dans la mesure où on ne peut empêcher un particulier de le faire avec des proches.

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